Saint-Valentin: se réjouir aussi de sa vie en solo

Cela ne pourrait être qu’un sale jour à passer. Le 14 février qui valorise le couple d’amoureux sur tous les tons et dans toutes sortes de déclinaisons marketing. Mais la pression sociale sur ceux qui s’affichent en solo est continue. Elle dure toute l’année. Du 1er janvier au 31 décembre. Isabelle, 63 ans, fraîchement divorcée (de son fait), par ailleurs médecin, élue politique et comédienne amatrice a passé son réveillon du 31 décembre toute seule et honteuse de l’être. Honteuse ? « J’ai choisi de quitter mon mari après trente-quatre ans de vie commune, parce que je ne partageais plus rien avec lui. J’adore mon nouvel appartement et ma vie sans compromis, je suis autonome, active sur plein de fronts, mais je réalise, dans ce que me renvoient mes amis, que je ne suis pas devenue une femme puissante, mais, au contraire une femme sans homme. J’ai l’impression de lire dans...
publicité
La suite est réservée à nos abonné·e·s
Découvrez nos offres d’abonnement
Déjà abonné·e ? Se connecter