Il n’y a pas d’âge pour succomber à la tentation des échecs
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Les échecs cartonnent comme jamais. Joshua en sait quelque chose, lui qui, à 10 ans, y entraîne son grand-père de 70 ans, qui n’a pas eu besoin de se laisser convaincre (lire ci-dessous). Vieux de 1500 ans, ce jeu oppose encore et toujours deux personnes, possédant 16 pièces chacune, respectivement blanches et noires, sur un échiquier de 64 cases.
À l’ère du numérique, les rois n’ont qu’à bien se tenir. En noir ou en blanc, le pion, le fou, le cavalier, la tour et la reine sont d’attaque, avec toujours plus de fans et d’amateurs absolus, en Suisse comme partout sur notre planète. Ce retour en force de ce jeu de guerre, pourtant fédérateur en diable, se vérifie jusque dans les clubs romands, où le nombre d’inscriptions ne cesse d’augmenter.
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