Paul Mac Bonvin: «Je suis un bon type, mais il ne faut pas exagérer»
Papy rockeur, c’est un statut que vous redoutiez?
Au contraire, je l’espérais. Nous sommes là pour que la lignée continue, c’est l’idée que je me fais de la famille.
Quand vous êtes-vous senti grand-père pour la première fois?
Quand on a fêté l’arrivée de Morgan, le premier petit-fils! Mais je ne m’en suis pas occupé tout de suite, c’était plutôt le travail de Priscilla, sa maman, et d’Inès, ma femme.
Quand avez-vous eu le droit de vous retrouver seul avec lui?
Depuis le tout début, on s’en occupe au minimum un ou deux jours par semaine. Marvin, le plus petit, a même passé des semaines entières avec nous au mayen l’été passé. C’est sûr que, pour la grand-maman, ça a été un peu plus de boulot que pour moi, mais j’ai quand même pas mal fonctionné.
Au point de le langer?
Honnêtement, quand mes enfants étaient petits, je laissais ça...
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