Arrêt images sur la Méditerranée des années cinquante
Dans les années cinquante, alors journaliste reporter publié dans différents médias, Léonard Gianadda sillonne le monde, son appareil photo en bandoulière. Son travail est apprécié: le jeune homme a un «œil», un sens inné de l'image. Il voue une profonde admiration au travail photographique de son ami Henri Cartier-Bresson, avec lequel il a en commun le goût des autres et du cliché pris sur le vif.
Il s'adonne à cet art pendant quelques années, avant de choisir une autre orientation de vie. «Je n'ai plus repris mon appareil pendant cinquante ans, confie-t-il aujourd'hui. Ces photos qui sont exposées à la Fondation, je ne les avais pas développées. Je ne les avais vues qu'en négatif et je les avais complètement oubliées! Jusqu'au jour où Jean-Henry Papilloud, commissaire de l'exposition, les a retrouvées.»
Ces clichés nous ramènent un demi-siècle en arrière, à la découverte des réalités des pays du...
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