publicité
Culture

Arrêt images sur la Méditerranée des années cinquante

- lun. 02/12/2013 - 00:00
Voyage étonnant que celui auquel nous convie la Fondation Pierre Gianadda. Près de 150 photographies pleines de sensibilité et d’humanité, prises par Léonard Gianadda, le maître des lieux, à l’époque où il était encore un jeune reporter. 
Léonard et Pierre Gianadda à Cyrène
Léonard et Pierre Gianadda à Cyrène (Libye), en 1960.   © Léonard Gianadda  

Dans les années cinquante, alors journaliste reporter publié dans différents médias, Léonard Gianadda sillonne le monde, son appareil photo en bandoulière. Son travail est apprécié: le jeune homme a un «œil», un sens inné de l'image. Il voue une profonde admiration au travail photographique de son ami Henri Cartier-Bresson, avec lequel il a en commun le goût des autres et du cliché pris sur le vif.

Il s'adonne à cet art pendant quelques années, avant de choisir une autre orientation de vie. «Je n'ai plus repris mon appareil pendant cinquante ans, confie-t-il aujourd'hui. Ces photos qui sont exposées à la Fondation, je ne les avais pas développées. Je ne les avais vues qu'en négatif et je les avais complètement oubliées! Jusqu'au jour où Jean-Henry Papilloud, commissaire de l'exposition, les a retrouvées.»

Ces clichés nous ramènent un demi-siècle en arrière, à la découverte des réalités des pays du...

publicité

La suite est réservée à nos abonné·e·s

Découvrez nos offres d’abonnement

En lecture
Arrêt images sur la Méditerranée des années cinquante
publicité