Patrick Lapp dans La Vanité: « Je suis mort quatorze fois dans ce film »
Patrick Lapp à l’interview est un homme délicieux. Avec cette pointe d’humour british, on se demande parfois si ces propos sont à prendre au premier ou au deuxième degré avant de comprendre que le bonhomme est sincère et simplement drôle. Un peu comme au cinéma ou au théâtre avec Bergamote et sa complice de toujours, Claude Inga-Barbey.
Le grand écran, il était temps d’y venir. Après une première prestation dans Les grandes ondes de Lionel Baier, le comédien bien connu des Romands tient à 71 ans son premier grand rôle dans La vanité du même réalisateur suisse, qui a été présenté au dernier festival de Locarno.
Il le reconnaît, cette révélation tardive vient du fait qu’il n’avait pas croulé sous les propositions jusque-là. « Pour réussir au cinéma, il faut soit être très beau, soit avoir une gueule. Moi, dans la rue, personne ne se retourne sur...
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