Nicolas Hulot, le mauvais procès
Allez, une petite marche arrière pour évoquer le mauvais procès fait au ministre français de la Transition écologique et solidaire, j’ai nommé Nicolas Hulot. Certains commentateurs n’ont pas digéré la couleuvre, apprenant que le superman gaulois de l’environnement possédait pas moins de neuf véhicules à moteur, dont six voitures. Un vrai scandale!
Allons donc. Ces fins observateurs n’avaient-ils rien vu venir? De fait, le bon ministre Hulot n’a jamais caché son attirance pour la mécanique. N’avait-t-il pas participé, en 1980, au Rallye Paris-Dakar? Plus tard, sur France Inter, il animait une émission consacrée à la moto cette fois: La poignée dans le coin.
Mais l’émission qui l’a hissé au panthéon du paysage audiovisuel français reste bien évidemment Ushuaïa, le magazine de l’extrême qui nous faisait découvrir les plus beaux endroits du globe. Après 25 ans d’activité, il déclarait alors «avoir fait l’amour avec la planète. » Bon...
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