Comme quoi, on ne regarde pas toujours où il faut. Et il a fallu du temps à un fou d’alpinisme comme Guy Cousteix pour apercevoir les peuplades qui vivaient aux abords des plus hauts sommets du monde. Une révélation: «J’ai découvert qu’ils avaient un attrait beaucoup plus important à mes yeux que de gros talus de plus 8000m de rocher et de glace.»
En visionnant dans le cadre d’Exploration du Monde son film Bouthan–Sikkim–Ladakh, on comprend mieux ce que le réalisateur français a voulu partager. Qu’on débarque dans le petit royaume du Bouthan, chez les cueilleuses de thé du Darjeeling ou chez les nomades du Sikkim, on ne peut qu’être captivé par les modes de vie ancestraux de ces populations. Dire qu’ils vivent dans des conditions extrêmement rudes serait un doux euphémisme. La modernité n’a fait qu’effleurer ces régions. Pourtant, le Bouthan, grand comme la Suisse avec moins de 800...
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