Planifiez aussi votre disparition numérique!
Rares sont les utilisateurs du web ayant recensé toutes leurs activités en ligne. Et, plus rares encore, ceux qui ont prévu ce qu’il adviendra de ces données après leur décès. Or, chaque internaute utilise plus d’une centaine de sites et de services en ligne (courriels, réseaux sociaux, banques de données, e-banking, abonnements, sites de rencontre, etc.). Sans « testament numérique », il tiendra du casse-tête, voire de la mission impossible pour les héritiers de chercher et de récupérer tous ces comptes et les données (documents, vidéos, photos, etc.).
En attendant des dispositions légales spécifiques pour la transmission de données d’un défunt à ses héritiers, le préposé fédéral à la protection des données a publié une série de conseils aux internautes et à leurs héritiers. Des recommandations complétées, à la fin de décembre dans un article de fond, à paraître dans la Semaine judiciaire sous la plume de l’avocat spécialisé Sébastien Fanti...
publicité
La suite est réservée à nos abonné·e·s
Découvrez nos offres d’abonnement
Déjà abonné·e ? Se connecter