"Ce que je dois à mes parents": les people romands témoignent
C’est rare qu’on s’en vante. Que «comme son père», on déteste les contraintes ou que «comme sa mère», on ait le sens de l’accueil chevillé au corps. On est tellement pétri de culture individualiste qu’on se fantasme libre. Né « ex nihilo ». Pourtant, quand on y regarde de près, nous sommes tous porteurs d’une mythologie familiale qui nous inscrit dans une histoire transgénérationnelle.
« Le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt », affirmait le père de Marie-Thérèse Chappaz. Résultat : sa fille, vigneronne indépendante, se lève spontanément à l’aube pour veiller sur ses vignes.
La comédienne, Anne Richard, a quant à elle tout misé dans son métier, car elle a intégré, en voyant son père partir tôt au travail et en entendant sa mère regretter de n’avoir pas aussi investi une carrière professionnelle, que le travail était la clé de la réalisation de soi.
S’agirait-il de se méfier de...
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