Privés de leurs petits-enfants
Tristesse, douleur, blessure, ces mots font mal. Les quelques grands-parents qui ont accepté de témoigner pour générations l’ont fait en demandant que leur anonymat soit garanti : trop peur que leurs paroles, leur colère et leurs pleurs enveniment une situation déjà difficile à vivre au quotidien. Leur point commun ? Un point noir qui, tous, les ronge de l’intérieur : ils sont privés de voir leurs petits-enfants. La cause ? Souvent, un différend, un divorce, un éloignement — ou alors des erreurs passées sur lesquelles personne ne veut transiger.
Loin d’être anodin, pareil drame toucherait ainsi plusieurs centaines de grands-parents, chaque année. En France voisine, c’est désormais la loi qui gère ce droit que nombreux estiment bafoué. La loi? Un imbroglio sans fin et un vrai casse-tête à mettre en place : imaginez seulement qu’on doive envoyer des policiers pour escorter l’enfant...
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