Grands-parents, sans caricature
L’été arrive et, avec lui, les vacances. Les plus chanceux partiront au soleil en famille, les autres resteront en Suisse, à la maison, car les parents travaillent. Et où iront-ils, ces enfants ? Souvent chez leurs grands-parents, pour autant qu’ils puissent les accueillir. Ou, pour certains d’entre eux, pour autant qu’ils veuillent bien les accueillir. Car les grands-parents ont changé.
Il y a quatorze ans naissait une institution, encore inédite, l’« Ecole des Grands-Parents de Suisse romande » (EGP). Son objectif ? Clair et généreux : offrir des espaces de rencontre et de discussion à tous les grands-parents en devenir ou non. A sa manière, elle ouvrait le grand livre de l’évolution en montrant que ces fameux grands-parents n’étaient pas (seulement ou toujours) ces caricatures à cheveux blancs, faiseuses de gâteaux aux pommes et faiseurs de maquettes de trains électriques, comme la société aime tant à les rêver. C’était un rien...
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