publicité
Opinion

Garder les cheveux dans le vent

- dim. 01/10/2017 - 00:00
En 1967, Brigitte Bardot nous faisait rêver avec sa Harley Davidson. Cinquante ans après, le mythe n'a pas pris une ride. L'édito de Blaise Willa.
Blaise Willa
photo: © Wollodja Jentsch

«Je n’ai besoin de personne en Harley-Davidson… J’appuie sur le starter et voici que je quitte la terre!» Assise sur sa selle, Brigitte Bardot l’entonnait crânement en fixant la caméra, avant de parcourir avec ses hautes bottes de cuir l’atelier-studio rempli de grosses cylindrées. C’était en 1967 et, avec Gainsbourg, sa chanson nous faisait tous rêver. 

 

Aujourd’hui, rien n’a vraiment changé et le mythe d’Easy Rider n’a pas pris une ride: Harley, la fameuse moto de Milwaukee, est toujours synonyme de grands espaces et de liberté, cette liberté rebelle que l’on chérit bien au fond de son cœur jusqu’au jour où on décide de faire le grand saut sur le bitume. Christian, ancien gendarme genevois, 59 ans, est l’un d’eux: après une vie bien remplie, il a craqué pour réaliser son «rêve de gosse» et s’est acheté une grosse moto pleine de chromes. Pascal, Sylvie ou Nathalie aussi. Direction...

publicité

La suite est réservée à nos abonné·e·s

Découvrez nos offres d’abonnement

En lecture
Garder les cheveux dans le vent
publicité