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Culture

Dans la noirceur du Brésil

- mer. 27/09/2017 - 00:00
Polar. Après les steppes mongoles, Ian Manook nous livre un récit particulièrement sombre dans la moiteur brésilienne.
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© IStock

La vengeance est un plat qui se mange froid, dit-on. De retour au Brésil trente ans après l’avoir fui, Jacques Haret ne se doute pas de ce qui l’attend alors qu’il a été invité pour parler de son dernier livre, Un roman brésilien. Un ouvrage où il conte les événements de l’époque … arrangés à sa sauce. Et, effectivement les autres intervenants ont une toute autre vision de cette sordide histoire.

Comme à son habitude, Ian Manook prend le lecteur à la gorge dès les premières lignes pour ne plus le lâcher. Une véritable traversée de l’enfer, dans une atmosphère moite et oppressante, où se révèle aussi toute la bassesse d’êtres humains pervertis jusqu'à la moelle. Pas d’espoir dans ce monde où tout se règle par la violence et la cruauté. Captivant, on l’a dit, mais d’une noirceur effrayante.

J.-M.R.

Mato Grosso, Editions Albin Michel 

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