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La médecine alternative a toujours plus d'adeptes, toute catégorie d'âge confondues.
Episode 1 / 18

Les médecines douces ont le vent en poupe!

Les thérapies non conventionnelles font de plus en plus d’émules. Les plus de 45 ans devraient même être les plus nombreux à se rendre au salon Mednat. L'évènement se tient chaque année au Palais de Beaulieu à Lausanne.
Un grand nombre de thérapies alternatives sont remboursées par l'assurance complémentaire.
Un grand nombre de thérapies alternatives sont remboursées par l'assurance complémentaire. © iStock

On l’oppose à la médecine conventionnelle en la qualifiant de complémentaire, douce, parallèle ou naturelle. Une pluralité de dénominations derrière laquelle se cache une palette de plus de 200 thérapies non académiques. Qui séduisent de plus en plus de monde, comme le montre un sondage qui a été publié en fin 2013 par la Fondation suisse pour les médecines complémentaires ASCA. Que ce soit via des consultations ou l’automédication, un Suisse sur deux y aurait recours – de manière régulière pour 20% d’entre eux. «Cette enquête confirme ce que nous observons», note Laurent Monnard, directeur de l’ASCA.

Les plus fervents consommateurs sont des femmes ayant entre 35 et 64 ans. «La tranche d’âge des 35 à 49 ans est celle qui en fait le plus fréquemment usage», précise Laurent Monnard. En revanche, il semble que ce seront majoritairement les plus de 45 ans qui sont fascinés par ce type...

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