Dider de Courten: «La transmission du savoir, c’est capital»
Timide, sérieux, voire un zeste rigide, Didier de Courten? Le chef valaisan dirait plutôt de lui qu’il est honnête et fidèle. Que ce soit avec la famille ou en amitié, mais aussi avec des principes auxquels il ne déroge pas dans sa cuisine du Terminus à Sierre. Sans doute la recette du succès pour cet établissement situé loin des grands centres urbains comme Lausanne ou Genève, mais qui n’en affiche pas moins deux étoiles au Michelin et 19 points au Gault&Millau. Pardonnez du peu! Pourtant, l’esbroufe, ce n’est pas le genre de la maison. L’homme affirme qu’il ne cédera jamais au business et aux sirènes de la téléréalité: on le croit. Profondément attaché à cette terre et au val d’Anniviers en particulier, il continuera à privilégier une cuisine du terroir et à défendre les traditions ainsi que les valeurs de son Valais, allant jusqu’à se lancer récemment dans...
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